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Être optimiste diminuerait le risque de mourir prématurément
2 participants
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Être optimiste diminuerait le risque de mourir prématurément
Les femmes qui font preuve d’optimisme courent moins de risque d’être atteintes de maladies cardiovasculaires que celles qui voient la vie en noir, soutient une étude américaine. Elles ont aussi moins de risque de mourir précocement, toutes causes confondues. Les femmes qui font preuve d’hostilité et de cynisme, pour leur part, ont plus de risque de mourir prématurément, bien que leur risque de souffrir de maladies cardiovasculaires ne soit pas augmenté.Des chercheurs de l’Université de Pittsburgh ont tiré ces conclusions après avoir suivi 97 252 femmes postménopausées, âgées de 50 ans à 79 ans, sur une période de 8 ans. Un questionnaire au début de l’enquête a permis de cerner leur degré d’optimisme et d’hostilité.
Au début de l’étude, aucune des participantes ne souffrait de maladies cardiovasculaires.Un suivi annuel a montré que les
femmes optimistes ont été 9 % moins nombreuses à être atteintes de maladies cardiovasculaires au cours des 8 années, et 14 % moins
nombreuses à mourir. Les femmes hostiles, quant à elles, ont été plus nombreuses à mourir. Leur risque était accru de 16 %.
Psychologue-chercheuse à l’Institut de cardiologie de Montréal, Bianca D’Antono étudie depuis de nombreuses années les relations corps-esprit. Elle s’intéresse notamment à l’effet du stress, des attitudes ou des comportements sur la santé. Les résultats de
l’étude américaine ne l’ont pas étonnée. « On sait déjà que les gens hostiles ou déprimés ont plus tendance à fumer, à mal se nourrir ou à négliger le sport. » Dans ce cas-ci, l’étude a montré que même après avoir soustrait l’effet de ces facteurs des résultats, les femmes optimistes s’en tiraient toujours mieux.La science n’explique pas encore tous les mécanismes en jeu. « On sait
toutefois que les gens plus déprimés (et donc plus négatifs) ont tendance à réagir aux épreuves de la vie avec de plus grandes réactions
physiologiques, explique Bianca D’Antono. À long terme, ces réactions peuvent endommager le corps. »L’administration du remède n’est pas simple. Bianca D’Antono propose tout de même des pistes de solutions. « Les techniques de méditation et de relaxation aident à filtrer les émotions négatives. Et la pratique d’activités sportives, en plus d’être profitable pour la santé physique, permet de mieux se sentir dans sa tête. Pour les patients qui en ont besoin, une thérapie cognitivo-comportementale peut également
aider à voir la vie du bon côté. »
Au début de l’étude, aucune des participantes ne souffrait de maladies cardiovasculaires.Un suivi annuel a montré que les
femmes optimistes ont été 9 % moins nombreuses à être atteintes de maladies cardiovasculaires au cours des 8 années, et 14 % moins
nombreuses à mourir. Les femmes hostiles, quant à elles, ont été plus nombreuses à mourir. Leur risque était accru de 16 %.
Psychologue-chercheuse à l’Institut de cardiologie de Montréal, Bianca D’Antono étudie depuis de nombreuses années les relations corps-esprit. Elle s’intéresse notamment à l’effet du stress, des attitudes ou des comportements sur la santé. Les résultats de
l’étude américaine ne l’ont pas étonnée. « On sait déjà que les gens hostiles ou déprimés ont plus tendance à fumer, à mal se nourrir ou à négliger le sport. » Dans ce cas-ci, l’étude a montré que même après avoir soustrait l’effet de ces facteurs des résultats, les femmes optimistes s’en tiraient toujours mieux.La science n’explique pas encore tous les mécanismes en jeu. « On sait
toutefois que les gens plus déprimés (et donc plus négatifs) ont tendance à réagir aux épreuves de la vie avec de plus grandes réactions
physiologiques, explique Bianca D’Antono. À long terme, ces réactions peuvent endommager le corps. »L’administration du remède n’est pas simple. Bianca D’Antono propose tout de même des pistes de solutions. « Les techniques de méditation et de relaxation aident à filtrer les émotions négatives. Et la pratique d’activités sportives, en plus d’être profitable pour la santé physique, permet de mieux se sentir dans sa tête. Pour les patients qui en ont besoin, une thérapie cognitivo-comportementale peut également
aider à voir la vie du bon côté. »
ghaza- Membre
- Age : 36
Filiére :- Pharmacien(ne)
- 6ème année
Nombre de messages : 198
Inscrit(e) le : 01/01/2009
Re: Être optimiste diminuerait le risque de mourir prématurément
merci beaucouppppppppp et ben pour moi j'aurais plus de chance
aya- Age : 37
Filiére :- étudiant(e) en pharmacie
- 4ème année
Nombre de messages : 2
Inscrit(e) le : 02/10/2009
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